Notre monde d’aujourd’hui évolue de plus en plus vite, grâce à la Digitalisation et aux nouveaux usages. Certains métiers, dans quelques années, n’existeront plus, tandis que d’autres se développent et prenne leur place dans notre monde en tant que métier de demain. Avec la crise salariale, dû à la crise de la COVID-19, il manque beaucoup de candidats qualifiés et disponibles, dans les métiers du numérique.
Avant de commencer une nouvelle formation, nous vous aidons à en apprendre plus sur les métiers de demain en informatique.
Les métiers d’aujourd’hui : Le développement web
Le profil d’un·e développeur·euse web est aujourd’hui beaucoup demandé pour aider à la création de sites web, d’applications mobiles, de logiciels et programmes informatiques. De plus, la demande est supérieure à l’offre, avec des développeurs·euses sollicités·es de partout, ainsi les salaires explosent. Beaucoup de développeurs·euse décident de se mettre en freelance pour pouvoir travailler plus librement.
Voilà quelques profils les plus recherchés dans les développeurs·euses web :
Développeur·euse JavaScript, Python, C, C++, C#… :
Dans n’importe quel secteur, les développeurs·euses sont très recherchés·ées. Ce qui compte, c’est le langage informatique que vous maîtrisez. En 2022, là maîtrise des langages JavaScript, Python, Java, C, C++, C#, mais aussi des langages moins populaires comme Clojure ou Scala, sont très recherchés.
Ingénieur / Développeur·euse full stack: front end / back end :
Le ou la full stack travaille à la fois sur le back end et sur le front end d’une application web. Le front end est l’aspect visuel du site et le back end est la logique et l’infrastructure du site.
Concepteur·trice développeur·euse d’applications :
Le concepteur·trice développeur·euse d’application va concevoir et développer des applications mobiles ou web pour des utilisateurs tout en respectant les normes standards qui vont être reconnues par la profession. Il va devoir suivre l’art de la sécurité informatique en veillant à respecter toutes les étapes nécessaires. Il doit prendre en compte les contraintes économiques, de délais, les exigences de sécurité qui peuvent être propres à son domaine d’intervention.
Ingénieur·e d’étude et développement :
L’ingénieur·e d’étude et de développement aide à la conception, au développement, à l’évolution d’applications et de projet informatiques. Iel participe aussi à l’analyse et a la transcription écrite des besoins utilisateur. Iel fait des études de faisabilité du projet en termes techniques et fonctionnels et prend part à la création du cahier des charges. Son rôle peut aller à de la conception de l’architecture de logiciel au contrôle de conformité. Il doit aussi former le client à l’utilisation de nouveaux éléments.
Les métiers d’aujourd’hui : système et réseaux
Les métiers liés aux systèmes et aux réseaux sont essentiels dans l’industrie de l’informatique et de la technologie de l’information. Ces métiers consistent à concevoir, mettre en place, configurer et maintenir des systèmes et des réseaux informatiques pour les entreprises et les organisations.
Les professionnels du système et des réseaux travaillent souvent avec des technologies telles que les serveurs, les bases de données, le stockage de données, les réseaux de télécommunications et les outils de sécurité informatique. Iels peuvent également être impliqués dans la gestion de projets informatiques et la prise de décision stratégique en matière de technologie de l’information.
Voilà les différents métiers d’aujourd’hui du système et réseaux informatique :
Administrateur·trice systèmes, réseaux et sécurité :
L’administrateur°trice système, réseaux et sécurité va gérer le matériel informatique et téléphonique de l’entreprise. Iel va appliquer la politique de sécurité informatique qui est, elle, définit par la direction des services informatiques.
Iel choisit, installe et paramètre les outils de télécommunication utilisés par les collaborateurs·rices.
Administrateur·trice d’infrastructures :
L’administrateur·trice d’infrastructure sécurise et administre les infrastructures informatiques dont iel assure l’installation, le paramétrage, la sécurisation, le maintien en condition opérationnelle et en condition de sécurité. Ie l va permettre de faire évoluer les infrastructures et contribuer à la gestion des risques et a la politique de sécurité de l’entreprise, en proposant et mettant en œuvre des solutions.
Responsable infrastructure systèmes et réseaux :
Le ou la responsable infrastructure système réseaux installe, paramètre et configure-les équipements de l’entreprise.
Iel va toucher au fonctionnement des systèmes d’information de l’entreprise, de l’administration des systèmes et réseaux. Son objectif est d’optimiser les données de l’entreprise afin de permettre aux collaborateurs·trices d’utiliser de façon continue tous les outils dont iels ont besoin pour travailler et d’en garantir la sécurité. (internet, intranet, téléphonie…)
Iel gère et pilote une équipe chargée de l’infrastructure réseaux et télécom, fixe et mobile, d’un où plusieurs sites de l’entreprise.
Superviseur·euse infrastructure et réseaux :
Le ou la superviseur·euse infrastructure et réseaux surveille l’état du réseau, des infrastructures et des machines. Iel surveille aussi les applications et les processus métiers. Iel s’assure que les systèmes informatiques de l’entreprise fonctionnent bien. Les gestionnaires d’infrastructure et de réseau sont en communication constante avec l’équipe informatique (opérations, systèmes, réseaux, etc.) et sont le moteur de l’innovation.
De cette manière, iel peut analyser et identifier les causes des dysfonctionnements, générer des rapports précis et faire des suggestions d’amélioration.
Bien sûr, cette liste peut se modifier et changer, des métiers peuvent apparaitre et disparaitre à tout moment. Vous l’aurez compris, le monde du travail est en constante évolution.
Les métiers de demain :
Le monde du travail est en pleine mutation et le monde des affaires est en pleine évolution. La généralisation de l’intelligence artificielle et de la robotique jouent un rôle clé dans cette transformation. En effet, ces nouvelles technologies vont non seulement changer les métiers qui existent déjà, mais aussi engendrer de nouveaux métiers. On estime aujourd’hui que 80 % des métiers qui existent en 2030 n’existent pas encore. Ces nouveaux métiers auront de nombreuses implications sur l’avenir de notre société. Par exemple, plusieurs carrières pourraient se créer autour de l’intelligence artificielle, comme le développement de technologies, l’étude de données et l’analyse de systèmes. La robotique, quant à elle, offrira de nouvelles perspectives.
Designer·euse de réalité virtuelle/augmenté :
Le/La designer·euse de réalité virtuel/augmenté va imaginer, modéliser et tester en 3D. Sa mission principale va être de reproduire un environnement en fonction de la demande du client ou de l’entreprise pour laquelle iel travaille.
Iel va devoir connaître tous les aspects de la 3D et doit connaître les outils ou logiciels utiles pour créer l’environnement 3D qu’on lui a demandé.
Créateurs·trice de matériels pour le métavers :
Le métavers ne peut exister sans matériels et dispositifs spécialisés permettant une appréciation des expériences qu’il peut offrir. En 2030, il est possible que le métavers fasse des gros progrès. Comme la création d’un appareil qui permettra de sentir et de toucher de manière simulée pour obtenir un plus grand degré d’immersion.
En outre, l’Oculus et d’autres lunettes VR sont divertissantes et ludiques, mais ne peuvent pas être portées longtemps sans qu’elles fassent mal. Impossible de les porter pendant une journée de travail. C’est là que les créateurs·trices des matériels du métavers entrent en scène. Iels essaieront de créer du matériel plus agréable à porter. Iels seront essentiels pour reproduire l’expérience du monde réel dans la réalité virtuelle. Il y a déjà de nombreux appareils performants en cours de création. Comme des gants et ses combinaisons à retour haptique VR.
Experts·es en cybersécurité dans le métavers :
Se protéger dans le cybermonde est encore problématique. En effet, avec le métavers, les hackers vont s’en donner à cœur joie. Il va donc falloir protéger la réalité virtuelle des cyberattaques, des fuites de données et des cybervols. Le métavers aura alors besoin d’expert·e en cybersécurité dans le métavers.
Les experts·es en cybersécurité du métavers travailleront pour protéger le système des attaques. Iels détecteront, évalueront et empêcheront les fraudes, les vols et les violations des données confidentielles.
Développeur·euse Web3 :
Grace au métavers, le web va connaitre une nouvelle ère. On ne parlera plus du Web 2.0, que l’on connait aujourd’hui avec l’avènement des réseaux sociaux et des sites internet. On parlera du Web 3.0, avec plus d’interaction.
Les devloppeur·euses sont les principaux acteurs·rices qui codent des sites internet et des réseaux sociaux. Mais quand le métavers aura pris plus de place dans notre monde, les developpeur·ses Web3 apparaitront et prendront le relais pour coder les sites et mondes virtuels basés sur la Blockchain.
85% des métiers de 2030 n’existent pas encore, C’est peut-être l’occasion de repenser votre métier et votre rapport au travail.
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